- Expérience MMO : J'ai été plutôt volatile sur chacun de mes MMOs, mes premiers furent pour la plupart d'entre eux des F2P (Free-to-play) mon premier MMO à abonnement fut tout d'abord Aion dans lequel je jouais templar, j'y suis resté 1 année pour ensuite me tourner vers Rift quelques mois et ensuite SW:TOR sur le serveur RP Huntmaster où j'ai exercé avec une guilde plutôt chaleureuse dans l'ensemble. M'intéressant depuis un bout de temps à The Secret World j'ai finalement en me disant que j'attendrais d'avoir des retours, j'ai succombé à la tentation et me suis lancé sur
le jeu.
Je n'ai pas beaucoup pratiqué le Roleplay sur un MMO dont ma seule expérience fût SW:TOR et un peu sur Perfect World. J'ai toutefois beaucoup pratiqué sur divers forum et sur divers theme/époque allant du moyen-âge à la renaissance et dans d'autres univers tel que celui de Tolkien ou Star Wars.
Je suis un jeune homme aux cheveux noirs et aux yeux marrons de corpulence moyenne et d'un naturel calme mais susceptible, je vis officiellement à Londres dans un quartier tranquille donnant une vue sur la Kensington's Garden. Je suis issu d'une famille protestante, personne ne s'étonnera que je sois naturellement pieux en défendant avec ferveur les valeurs que m'ont inculqués mes parents. Durant ma jeunesse, je fis mes études exclusivement dans des écoles protestantes. Mes professeurs m'apprenaient donc les langues, les mathématiques et autres joyeusetés entre deux prières. J'étais plutôt friand des cours d'histoire et surtout de ceux traitant sur les divers guerres religieuses mais notamment des citations de mon professeur tel que "Les vainqueurs écrivent l'histoire", "Si tu veut la paix prépare la guerre" ou bien encore
"--- Bip ---".
je n'avais pas particulièrement beaucoup d'amis, j'en avait même très peu, mes parents strictes m'interdisant de côtoyer des personnes qu'ils ne jugeaient pas assez "pieux". j'était donc la plupart du temps seul mais cela ne me dérangeais pas plus que cela, aimant la solitude et le calme. Les années se succédant et mes "A levels" en main, j'ai décidé de poursuivre mes études dans le domaine du droit & social à la suite de l'obtention de mon permis de conduire. N'étant pas particulièrement doué ni mauvais dans le déroulement de mes études mes enseignants étaient d'accords sur le fait que ma carrière professionnel serait voué à réussir si je continuais dans cette voie.
Cela fit deux ans maintenant que j'ai emménagé dans un appartement de Londres en recevant de temps à autre la visite de mes parents et de mes rares amis proches. En outre, je faisais parti des 8 millions de Londoniens et me fondais dans la masse tel un "monsieur-tout-le-monde". Je n'étais pas spécialement heureux mais je me contentais de la vie que j'avais. Toutefois, quelque chose avait bouleversé ma vie, je me souviens avoir pris la route pour rejoindre la fête de mariage de Richard, l'un de mes ami avec deux autres proches que je conduisais à la fête, la route était sinueuse et nous étions en pleine forêt de nuit, soudain, j'ai perdu le contrôle de mon volant et ma voiture fit plusieurs tonneaux avant d'allez s'écraser contre un arbre. En ouvrant succinctement les yeux je ne vis que du sang tachetant l'intérieur du véhicule, et en essayant de tourner ma tête pour voir l'état dans lequel était mes amis, j'aperçus par la la portière ce qui m'avais paru être un faucheur, je pensais en avoir fini avec la vie et je perdis connaissance.
Lorsque je me suis enfin réveillé, j'étais allongé dans un lit, les yeux rivés sur le plafond blanc d'un hôpital. La première chose qui me frappa avec stupeur fut le fait que que n'étais plus capable de parler, mais juste d'émettre quelques sons stridents même en y employant toute ma bonne volonté. Lorsque le médecin devant s'occuper de moi arriva, on m'annonça que j'avais reçu un assez grave traumatisme lors de l'accident et que ce dernier troublait ma capacité à communiquer par la parole et que les spécialistes restaient incertain quant à ma capacité à la recouvrer. Par ailleurs, lorsqu'on m'annonça aussi la mort de mes passagers, je culpabilisais énormément en me disant que si je n'avais pas conduit, celui ne serait jamais arrivé. Malgré que je ne sois pas aux yeux de la loi, coupable, les enquêteurs remettant la cause de l'accident à un arbre qui s'était écrasé sur la route, ce ne fut pour moi qu'une maigre consolation.
Suite à une longue période de convalescence et de réapprentissage j'ai pu retourner dans mon appartement, encore sous le choc de ce qui m'étais arrivé. Lors de mon séjour à l’hôpital, j'avais pris pour habitude de garder sur moi en permanence un calepin et un crayon pour pouvoir communiquer avec le personnel, je l'ai tout de suite remplacé par la suite par propre Iphone qui était pour moi moins encombrant. Pour me soulager, on m'offrit un chat que j'ai décidé par la suite de baptiser sous le nom de
--- BIP ---, l'une de mes friandise préféré et que mon entourage apportait régulièrement lorsque j'étais à l’hôpital. Pendant la nuit, je rêvais encore et toujours à l'accident que j'avais eu et à cette étrange silhouette. Qui était-il ? Etait-il au moins réel ? Serait-ce lui qui nous... qui m'aurait sauvé ? Chaque nuit, je me réveillais en sursaut, plein de sueur, et ce fut un rêve, ou plutôt cauchemars, qui me tourmentait sans cesse. Les mois passèrent mais j'ai fini par faire abstraction de ces cauchemars à l'aide de somnifères, mon seul désir était de reprendre une vie presque normale et oublier toute cette histoire. Mais le destin en avait décidé autrement. En effet je me surpris une nuit à faire un rêve inhabituel de ce que j'avais l'habitude de rêver, des voix me murmuraient à l'oreille avec un dialecte qui m'était inconnu, ces murmures devenaient de plus en plus bruyant jusqu'à devenir un capharnaüm, puis, le silence, je me suis ensuite réveillé et remarqua que ma gorge m'irritait fortement. Quand je me suis levé pour jeter un coup d'oeil autour de moi, je vis avec stupéfaction qu'une partie de mes meubles commençaient légèrement à prendre feu et une forte fumée se dégageait depuis ma chambre. me dirigeant rapidement vers les fenêtres et les ouvrants, la fumée ne mit que peu de temps avant de s'évaporer. Angoissé, je suis resté enfermé chez moi plusieurs jours durant, je craignais que cela ne se reproduise à la vue de tous, ma tête était devenu devenu un champ de bataille où questions sans réponse s'entrechoquaient et pour ne rien arranger mes pouvoirs se manifestaient de plus en plus souvent même j'appris au fur avec le temps à ne plus brûler tous ce que je touchais
Un jour on toqua à ma porte, ne voulant ouvrir et ainsi révéler ma présence je restais dans un premier temps immobile, feintant mon absence, toutefois, une voix intérieur me murmurait d'ouvrir et avant même de m'en apercevoir, j'étais déjà devant la porte la main sur la poignée et prêt à ouvrir. Sentant que je n'avais plus le choix je décidais de tourner la poignée mais avant d'avoir pu pousser la porte, mon visiteur s'en chargea. C'était une femme aux cheveux blonds et portant ce qu'il semblait être vêtu d'une tenue de scientifique avec une forte nuance de rouge. Elle m'expliqua ensuite la situation et avant même que ne puisse reprendre mon souffle je devais assimiler les mots " pouvoirs, sociétés secrètes, jours sombres, dangers, seul recours" en même temps. La femme me donna ensuite une enveloppe avec un sceau en forme de croix. Elle me rappelait mes anciens cours d'histoires et je remarquais que le sceau ressemblait étrangement à celui qui caractérisait les croisés, lorsque j'eus lever les yeux, la femmes s'était déjà volatilisé. Intrigué mais surtout en quête de réponse, j'ai décidé de me rendre à l'adresse donnée dans l'enveloppe après avoir confié mon chat aux bons soins de ma voisine.
Arrivé à l'adresse indiqué sur le plan, je suis tombé nez à nez devant une immense bâtisse dont l'entrée était gardée par des hommes et femmes habillés dans un ensemble rouge. Tout d'abord impressionné, je ravalais sa salive et commençais à monter les escaliers, l'intérieur était réellement somptueux, le sol et les murs étaient recouvert de marbres, bronze, argent et or. Néanmoins après une première impression que tous le monde aurait eux, cela avait ensuite vite eu effet de m'écoeurer. En effet de religion protestante, j'étais contre toute ces démonstrations de richesses qui n'étaient qu'un moyen d'attirer les faibles d'esprits comme la lumière attire les insectes. On me conduisit ensuite dans le bureau Mr. Sonnac, où ce dernier m'expliquait que tous ce qui c'était passé n'était pas un accident et que j'avais en réalité été victime d'une attaque perpétré par l'abomination que l'on nomme "Revenant". On m'expliqua ensuite que la scène fut maquillé pour que cela paraisse être un accident car le grand publique n'était pas prêt à connaitre leurs existences. Sonnac après un long monologue expliquant le rôle et les valeurs des templiers me proposa de m'intégrer dans les rangs des templiers d'où mes pouvoirs pourraient être une opportunité pour que les cas dont j'ai été victime ne se produisent plus. j'ai accepté son offre par un simple "oui" écrit sur mon Iphone, bien que sur le fond, nos idées se rejoigne. Les méthodes de cet ordre n'était clairement pas à mon goût surtout quand on m'avais donné consigne de ne pas m'occuper des habitants dans le besoin que je pourrais rencontrer lors de mes missions car ils représentaient pour l'ordre un "intérêt mineur". Au final, ce qui m'intéressait le plus n'était pas de mettre un terme à ces attaques car je savais que même en donnant toute mon énergie, nous n'y arriverions pas, ayant la conviction que la lutte entre le bien et le mal n'était qu'un éternel renouvellement. Mais au moins ce que je pouvais faire, c'était d'aider ces personnes pour qu'ils ne se perdent pas dans les méandres du désespoir, et cet ordre me l'en interdisait ?! L'estime que j'avais porté à l'égard des chevaliers croisé avait dès lors grandement baissé.
Suite à quoi j'ai passé de longs jours dans le creuset à m’entraîner avec différentes armes, matériaux et outils. On m'apprenait à contrôler mon pouvoir, ce qu'ils appellent l'Anima et à m'en servir contre mes ennemis pour les blesser mais aussi contre mes alliées pour les soigner. Ne me voyant pas l'âme d'un chasseur de démon, j'ai jugé bon de mieux approfondir mes compétences de premiers secours, je laisserais le combat aux autres membres de l'ordre que je ne côtoyais d'ailleurs que très peu, leurs attitudes hautaines m'insupportant profondément. Après tout je n'étais pas la pour se faire des amis et comme je le dis ou pensais toujours : "mieux faut être seul que mal accompagné". On me donna aussi accès à la bibliothèque privée de l'ordre qui se situait de l'autre côté de la rue. Etant d'un naturel curieux et cherchant des réponses à mes nombreuses questions, je m'y précipitais pour en apprendre d'avantage entre deux séances d'entrainement que le général instructeur Lethe ne manquait pas de me rappeler. Ces séances à la bibliothèque ne manquaient d'ailleurs pas de conforter mon opinion quant à l'attitude exécrable de mes "frères". Ces derniers ne faisant que pavaner de bout à l'autre de la bibliothèque, une coupe de champagne à la main en parlant de mode et beauté. j'ai pu toutefois en apprendre d'avantage sur l'histoire des templiers, leurs implications et le nom de grandes personnalités. Toutefois, un détail attirait mon attention, des passages étaient effacés et même des pans entiers de feuilles arrachés, toutes lorsqu'il était mention d'un certain Ordo Vindicäre. Pensant tout d'abord à un acte de vandalisme, ce qui ne me surprendrait guère étant donné le comportement de la plupart des membres du temple. J'ai préféré néanmoins aller vérifier auprès d'un des historiens de la bibliothèque.
Ce dernier m'informa que le nom d'Ordo Vindicäre était tabou mais qu'il acceptait néanmoins de m'en parler. je découvrais alors que la cabale et ses membres que l'on connaissait sous le nom d'Ordo Vindicäre était considéré comme des parias, en effet leur attitude vis à vis des consignes strictes de l'ordre ne pouvais être toléré par celle-ci, prônant comme vertu la discipline, malgré qu'on ne pouvait nier la piété de leurs membres et leurs résultats probants lors d'anciennes opérations. Ainsi, le temple aurait prit ses distances avec cette cabale qui d'ailleurs ne figurais même plus dans le registre des cabales au service du temple bien qu'elle y soit toujours officiellement affiliée. De plus, l'ordre ne possédait que peu d'information quant aux agissements de celle-ci. J'imagine que le fais d'avoir au sein de leurs rangs une division agissant en électron libre devait les agacer au plus haut point même si au final, elle devait les tolérer, toutes aides contre les démons étant la bienvenue.
Il commençait à ce faire tard et une autre séance d'entrainement était encore programmé au Creuset, je retournais alors auprès de l'instructeur Lethe après avoir remercié l'historien pour toute ses précisions, ce dernier me remercia d’ailleurs pour l'intérêt que je porte à l'histoire du Temple, là où mes camarades n'en avaient que faire, ce qui ne me surpris pas le moins du monde.
Les semaines passèrent et je continuais d'affiner mes techniques. Bien qu'éprouvant un énorme ras-le-bol quant au fait que cela faisait aussi des semaines que je ne faisais rien d'autre que de m’entraîner et de passer le peu de temps libre en ma possession en compagnie de l'historien en approfondissant mes connaissances culturels notamment au sujet de cette mystérieuse cabale, et plus j'en apprenais, plus j'avais soif de connaissance.
Un jour, mon émetteur se mit à vibrer pour la première fois. C'était une convocation provenant de la salle de briefing, vraisemblablement, ils me jugaient enfin apte à aller sur le terrain. Arrivé dans la salle d'où était assis ce qui semblait être un officier supérieur, ce dernier commença à me donner ses instructions. J'eus pour consigne de rejoindre l'un des agents templier posté à Paris et de mener une opération en duo, pour cette première mission, les enjeux n'étaient pas énormes mais l'échec n'était cependant pas toléré. L'officier me conseilla vivement de rejoindre l'une des division de l'ordre, seul, malgré l'entrainement que j'avais reçu, je restais selon lui une proie facile que ce soit de la part des démons ou des autres sociétés secrètes. C'est alors qu'il me donna une liste de cabale à intégrer avec leurs adresses ainsi qu'un code spécifique à chacun d'eux me permettant de m'identifier en tant que Templier. Bien sur, l'Ordo Vindicäre n'y était pas inscrit.
Après quelques instants, il m'interrogea de nouveau dans quel cabale je souhaitais être affilié. Hésitant pendants quelques secondes, je sortis de ma poche mon Iphone et entras les caractères suivant : " Ordo Vindicäre " , soudain, c'était comme si le temps s'était figée, L'officier me regardait avec ses grands yeux comme s'il avait vu le diable en personne. Après un bref instant, il décida de reporter la discussion pour une prochaine fois. Il me remit des faux papiers tel qu'un permis de conduire, visa, passeports ainsi qu'une carte de crédit où figurait le logo d'OROCHI, et alimenté par l'Ordre en fonction de mes besoins. Le templier me fit un dernier récapitulatif en me montrant la marche à suivre pour me rendre à Paris en passant par l'Agartha, il me demanda ensuite de quitter la salle et de me mettre au travail d'un air contrarié.
Préparant mes affaires, j'appréhendais cette nouvelle mission. En effet, l'instructeur Lethe m'avait fait m’entraîner sur des Rakshasa enchaînés et l'idée de devoir affronter une telle créature dans des conditions réelles m'angoissait.
Mais ce n'était plus l'heure d'hésiter. L'instructeur Lethe m'a appris que l'hésitation était ce qui séparais le vivant d'un mort, et ce n'est pas dans mes plans de mourir tout de suite. Avant de rejoindre le métro londonien, je me devais d'aller saluer l'historien qui était réellement la seule personne que je pouvais considérer comme un ami entre ces murs.
Je discutais alors une dernière fois avec lui, avant de m'en aller, je lui ai décrit ce qui c'était produit dans la salle de briefing ainsi que la réaction que l'officier eut lorsque j'avais tapé le nom de l'Ordo Vindicäre sur mon téléphone portable. Nous plaisantions alors encore plusieurs minutes avant qu'il ne soit l'heure de m'en aller. Avant que je ne prenne la direction du métro l'historien me demanda si j'étais réellement sur de vouloir m'intégrer à une telle cabale en m'expliquant qu'en la rejoignant, je me mettrais la quasi totalité du Temple à dos.
"Ca me fait une belle jambe" lui ai-je écris avec le sourire. Moins je leur ressemblais et mieux je me portais. Il me posa alors une ultime question, pourquoi ? Pourquoi étais-je si déterminé à les rencontrer ? J'ai voulu lui répondre mais mes mains se crispa, l'écran de mon Iphone resta blanc. Je ne connaissais même pas la réponse à cette question qui me paraissait pourtant si logique.
"Je ne le saurais qu'en les rencontrant"
C'est cela tous ce que j'étais capable d'écrire. Soupirant, il me serra la main et glissa un morceau de papier dans le creux de la mienne. Il me tira alors vers lui en rapprochant sa tête de ma joue comme pour me faire une bise.
"Ce ne sera pas facile de les trouver, tu n'y arrivera même peut être jamais, mais en faisant de longues recherchent sur eux, j'ai trouvé quelque chose qui devrait t'aider."
Faisant un dernier signe de la main à mon vieil ami, je me mis en direction du métro. Sur le trajet j'ouvris le morceau de papier plié qu'il m'avait confié, trois mots y étaient inscrits : "
--- BIP ---". Je me suis dans un premier temps demandé comment cela aurait pu m'aider, mais j'imagine qu'il ne m'aurait pas donné de faux indices.
Arrivé au métro, je descendis les escalier pour découvrir le fameux passage dont L'officier m'avait parler, l'entrée ressemblait plus à un jardin florale qu'à un quai de train et des centaines d'abeilles tournaient autour d'une intense lumière, elles n'avaient pas l'air de se préoccuper de ma présence. Après avoir traversé cette étrange lumière et en rouvrant les yeux, je me suis retrouver sur l'une des branches d'un arbre gigantesque où se déplaçaient plusieurs vingtaines personnes apparemment habitué à utiliser ce moyen de locomotion.
Un vieil homme habillé en tenue de surveillant de gare et accompagné de deux gigantesque automates me fit un signe de la main. Ce dernier m'expliqua ce qu'était l'Agartha et comment s'en servir ainsi que le chemin que je devait empreinter pour arriver à destination. Malgré ces éclaircissement je pris la route qui m'avais été indiqué d'un pas incertain, surtout en voyant ce qui se situait en dessous de moi. Arrivé à destination je traversai une sorte de bulle d'où l'on pouvait observer l'intérieur du métro parisien. Après avoir cligné un instant des yeux, je me retrouvais désormais sur le quai du RER au milieu d'une foule faisant d’incessant va et viens. Personne n'avait l'air d'avoir remarqué ma présence et lorsque je me retournai, le chemin que j'avait il y a un instant empreinté avait disparu, comme s'il n'avait jamais existé.
Je soupirai et se résignai à me dire que ce n'était et ne serait très certainement pas la seule bizarrerie que je verrais depuis que j'ai intégré cette société secrète. Se mettant en direction pour retrouver mon fameux contact je laissai mes yeux se déposer sur chaque bâtiments et monuments que je croisais sur ma route. Bien qu'ayant étudié le français et vu des photos de Paris, la voir en vrai était vraiment une chose unique. Passant devant un monument où l'on pouvais y apercevoir un crucifix, je ne pus m'empêcher de faire un signe de croix avant de reprendre ma route, en bon croyant que j'étais. Le lieu de rendez vous était l'appartement qui m'avait été attribué par l'ordre pour les besoins de la mission. En ouvrant la porte mon informateur était bel et bien là, assis sur un canapé les jambes croisés sur une table basse. C'était un homme d'un certain âge, ses cheveux commençaient à virer au gris et il possédait une longue barbe.
" Alors c'est toi celui qu'ils m'ont envoyé ?" m'aborda t-il "Tu n'a pas l'air très musclé mais tu fera l'affaire, de toute façon je pouvais le faire tout seul, c'est juste que Sonnac m'a forcé la main à prendre quelqu'un avec moi pour m'assister... Bon, fait ce que je te dirais de faire et tout se passera bien ok ? On m'a informé que tu était muet, c'est vrai ?"
je sortis mon Iphone et tapotai un instant.
"OUI"
"Alors ça me va..." rétorqua le vieil homme "...je n'aime pas les gens bavard et tant que tu sait te servir de tes mains et que n'est pas bouché, alors sa ira. Bon, voici la situation, il y a actuellement une série de meurtre à Paris, A première vu on aurait dit l'oeuvre d'un tueur en série mais les traces retrouver sur les lieux disent le contraire et on dirais qu'il s'agit d'un rakshasa. D'habitude ces saloperies se cachent dans les égouts mais il semblerait que l'un ai décider de sortir de son terrier. Nos agents infiltrés dans la police font passer ça pour des règlements de comptes entre gangs mais le subterfuge ne durera pas bien longtemps. Notre job est donc de la traquer et de l'éliminer par tous les moyens nécessaire. Heureusement, cette bestiole agit de nuit et possède une sorte de... Garde mangé si l'on peut dire. Nous avons donc le lieu et l'heure alors prépare toi, on débute ce soir"
Il glissa un 9mm ainsi qu'un silencieux et deux chargeurs sur la table basse
"Voilà pour toi, garde le en permanence en ta possession et prends en soin, elle te servira à te défendre, quant au silencieux ce sera pour éviter d'attirer l'attention sur nous même si nos agents devrait tenir les habitants à l'écart de la zone, on ne sait jamais."
Il se mit ensuite à s'allonger sur le canapé.
"On aurait besoin de garnir le frigo en attendant, si tu pouvait bien t'en charger..."
Soupirant, j'ai ramassé l'arme pour le mettre dans la poche intérieur de ma veste et descendit en bas de l'immeuble dans lequel nous étions, en quête d'une supérette. Une borne de prélèvement bancaire se trouvait de l'autre côté de la rue, je m'étais dit que c'était le moment de voir si la carte de crédit que l'on m'avait confié fonctionnait réellement.
BackGround en fignolage
Je m'attend à retrouver un cadre de jeu d'où je pourrais pratiquer le RP et m'immerger autant que lors de ma précédente expérience qu'est SW:TOR. De plus le fait qu'il y ait une intrigue majeure cousue pour durer au sein de la cabale m’enthousiasme réellement.
D'un point de vu "matériel" ce sera un nouveau membre, pour le côté humain je pense pouvoir m’investir et être relativement disponible pour chaque évènements organisé par la cabale.
Ayant les mains ( ou plutôt les yeux ) dessus depuis 3 jours, non ce n'est pas le cas.
Malgré mon jeune âge je pense être une personne mûre, en ce qui concerne mes défauts le plus gros est sans doute que je suis très bavard pour au final rien dire si ce n'est parler de la pluie et du beau temps. Le fait d'incarner un personnage muet va être une bonne expérience dans la correction de ce défaut
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